Depuis quelques années, on la voit partout. Inutile de donner des exemples car le plus souvent, les couvertures parlent d'elles-mêmes: du rouge, du noir, du blanc, parfois quelques fleurs, parfois du sang... Si l'on se réfère à la brève présentation qu'en fait wikipédia, il s'agit d'un sous-genre littéraire de la fantasy urbaine (cette dernière étant également un sous genre à la rencontre du fantastique et de la fantasy, mettant en scène des personnages et créatures issus d'un univers merveilleux mais évoluant dans le monde réel). Le terme, contraction de bitten (mordre) et de literature (littérature), a été créé par les éditions Milady mais est surtout populaire depuis le succès rencontré par la célèbre saga Fascination (Twilight) de Stepheny Meyer.
A sa sortie en France en 2005, ce livre s'était montré très discret et ne bénéficiait pas de la publicité qu'on lui connait aujourd'hui. A l'époque, il ne se distinguait pas des autres publications de jeunesse qui restaient toutes dans l'ombre d'Harry Potter et n'était connu que d'un cercle de lecteurs très fermé. Le grand fan d'histoire de vampires que j'étais avait flashé sur la couverture : encore aujourd'hui, je reconnais que les éditeurs avaient proposé quelque chose d'alléchant. Mais ce n'est qu'en 2007 que je sautais le pas et, je l'avoue, non sans plaisir! J'avais trouvé l'histoire originale, inattendue, et le style m'avait à l'époque beaucoup plu. La popularité discrète renforçait mon appréciation du livre ; en effet, je n'ai jamais trop aimé lorsqu'un roman ou un film devient trop célèbre. Cela avait été le cas avec Harry Potter, dont je frôlais l'indigestion à force de le voir et d'en entendre parler partout, vu et revu à toutes les sauces.
Malheureusement, Fascination connu un sort identique avec son adaptation au cinéma. La version française conservant le titre original, tout le monde se mit désormais à parler de Twilight, mot qui revenait bien trop souvent dans la bouche de jeunes filles en fleurs, et dont le comportement tournait à l'hystérie à la simple évocation d'Edward Cullen (ou devrais-je dire d' Edwwwwwwwaaaaaaaaaaaaaaaaaard!). Cette vague de folie grandissante décrédibilisa à mes yeux la saga et toute forme de littérature approchante.
Je ne m'étendrai pas sur les nombreuses publications honteusement pompées -du synopsis aux couvertures en passant par les titres- sur Fascination et qui surchargèrent ensuite les rayons des libraires. Toujours est-il qu'avec le recul, en abordant le sujet sur un forum de littérature jeunesse, une question fut amenée sur le tapis: Si parmi cette avalanche de romans fantastico-romantico-niais dissimulés derrière de (trop) jolies couvertures ne se trouvait pas quelques perles qui mériteraient d'être lues? Je me promis donc d'essayer, de temps à autres, de mettre le nez dans un des spécimen du genre (parce qu'il ne faut pas mourir idiot et qu'il n'y a que les imbéciles qui ne changent pas d'avis! haha). Peu de temps après m'être lancé ce petit défi, l'occasion se présentait de concrétiser l'expérience...
(suite au prochain post!).
A sa sortie en France en 2005, ce livre s'était montré très discret et ne bénéficiait pas de la publicité qu'on lui connait aujourd'hui. A l'époque, il ne se distinguait pas des autres publications de jeunesse qui restaient toutes dans l'ombre d'Harry Potter et n'était connu que d'un cercle de lecteurs très fermé. Le grand fan d'histoire de vampires que j'étais avait flashé sur la couverture : encore aujourd'hui, je reconnais que les éditeurs avaient proposé quelque chose d'alléchant. Mais ce n'est qu'en 2007 que je sautais le pas et, je l'avoue, non sans plaisir! J'avais trouvé l'histoire originale, inattendue, et le style m'avait à l'époque beaucoup plu. La popularité discrète renforçait mon appréciation du livre ; en effet, je n'ai jamais trop aimé lorsqu'un roman ou un film devient trop célèbre. Cela avait été le cas avec Harry Potter, dont je frôlais l'indigestion à force de le voir et d'en entendre parler partout, vu et revu à toutes les sauces.
Malheureusement, Fascination connu un sort identique avec son adaptation au cinéma. La version française conservant le titre original, tout le monde se mit désormais à parler de Twilight, mot qui revenait bien trop souvent dans la bouche de jeunes filles en fleurs, et dont le comportement tournait à l'hystérie à la simple évocation d'Edward Cullen (ou devrais-je dire d' Edwwwwwwwaaaaaaaaaaaaaaaaaard!). Cette vague de folie grandissante décrédibilisa à mes yeux la saga et toute forme de littérature approchante.
Je ne m'étendrai pas sur les nombreuses publications honteusement pompées -du synopsis aux couvertures en passant par les titres- sur Fascination et qui surchargèrent ensuite les rayons des libraires. Toujours est-il qu'avec le recul, en abordant le sujet sur un forum de littérature jeunesse, une question fut amenée sur le tapis: Si parmi cette avalanche de romans fantastico-romantico-niais dissimulés derrière de (trop) jolies couvertures ne se trouvait pas quelques perles qui mériteraient d'être lues? Je me promis donc d'essayer, de temps à autres, de mettre le nez dans un des spécimen du genre (parce qu'il ne faut pas mourir idiot et qu'il n'y a que les imbéciles qui ne changent pas d'avis! haha). Peu de temps après m'être lancé ce petit défi, l'occasion se présentait de concrétiser l'expérience...
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