lundi 19 octobre 2020

Il était une fois, dans les archives du Terrier...


 
    Un florilège s'impose ! Ainsi qu'on vous l'a expliqué dans notre article d'introduction au challenge Halloween consacré cette année aux contes de fées, ce n'est pas là un thème inédit sur books-tea-pie. Comme en témoigne le libellé "Once upon a time", on en a lu, des contes. Oui, mais pas que : des contes traditionnels, des réécritures de contes, des romans qui parlaient de contes, des contes de fées autant que des contes défaits... Bref, inutile de faire les contes, euh, les comptes. Pour bien inaugurer le thème à l'honneur de ce challenge 2020, nous vous proposons ci-dessous une liste choisie des précédentes chroniques ayant pour sujet principal cet univers entre ombres et enchantements...
 
 
Contes traditionnels et contes classiques :
  
    Il est probablement inutile de les présenter, mais en même temps, il serait bête de les oublier : les contes traditionnels restent des immanquables. Certains méritent d'être redécouverts : on croit connaître les histoires mais on réalise alors qu'on n'avait lu jusqu'ici que des versions épurées, vides de tout intérêt. Dans cette première liste figurent aussi les textes mis en images par des illustrateurs de talent.
 
La Belle et la bête, version de Mme de Villeneuve et version de Mme Leprince de Beaumont : 

    Un conte certainement vieux comme le monde, qui puise autant dans le mythe d'Amour et Psyché que dans certains faits historiques (cherchez donc sur google l'histoire de Pedro Gonzales). Si la version écrite et traditionnelle la plus connue est celle de Mme Leprince de Beaumont, célèbre gouvernante de la cour de Lunéville, il existe une version antérieure de dix ans écrite par Mme de Villeneuve. Moins populaire, ce dernier texte est beaucoup plus détaillé mais aussi plus cru et plus précieux à la fois, ce qui en fait une curiosité intéressante à découvrir pour les amateurs du sujet.
 
 
La belle au bois dormant, le conte de C.Perrault : 

    Est-il utile de présenter ce conte ? Peut-être bien que oui, car si on le connait dans la version vaguement reprise par Disney (à un dragon et quelques fées près), on ignore souvent que ce texte original et fondateur de Perrault se compose d'une seconde partie, sorte de "suite" à l'intrigue principale. Cette continuité oubliée du plus grand nombre confronte la Belle au Bois Dormant, devenue épouse et mère, et à sa belle-mère, en fait une ogresse bien décidée à la dévorer...
 
 
Casse-Noisette, d'E.T.A.Hoffman : 
 
    Conte de Noël par excellence, Casse-Noisette est aussi un roman féérique qu'on connait principalement via son adaptation en ballet par Tchaïkovsky. Sa musique est aujourd'hui indissociable du conte et ce en dépit de nombreuses modifications dans son adaptation du livre à la scène.
 
 
Cendrillon, le conte de Perrault illustré par M.Barcilon : 
 
  Un texte très proche de la version originale de Perrault pour une mise en images légère mais pas cul-cul, les personnages de l'illustratrice présentant des bouilles toutes en rondeurs et en tons pastels.
 

Blanche-Neige, le conte de Grimm illustré par B.Lacombe : 

    Une version illustrée avec style et profondeur : les images d'inspiration gothique de Benjamin Lacombe présentent une Blanche-Neige virginale dans un monde enneigé où la froideur règne. Cet album est particulièrement intéressant pour la dimension symbolique des illustrations.

La Reine des Glaces, d'après la Reine des Neiges d'Andersen, illustré par Miss Clara :
 
    Un magnifique album qui met en scène le conte plutôt qu'en images ; En effet, Miss Clara, plasticienne de talent, illustre La Reine des Neiges via des personnages fabriqué de papiers et de tissus, photographiés et sublimés par ses dons de graphisme. Le résultat est délicieusement sombre et délicat pour ce conte hivernal où se côtoient le diable, le rythme des saisons, et l'amour inconditionnel des enfants.

La Reine des Neiges d'après Andersen, illustré par A.Cresci :

    Même conte mais dans une version ici plus tronquée destinée à un public plus jeune, cette adaptation sous forme d'album de la Reine des Neiges est aussi plus fraîche et plus légère mais sans dénaturer l'intrigue originale

 
Le Magicien d'Oz et le cycle d'Oz, de L.F. Baum :
 
    Davantage roman de fantasy moderne que conte traditionnel, Le magicien d'Oz est cependant entré dans la seconde catégorie grâce à ses personnages de sorcières charismatiques et par l'aura enchanteresse de son histoire. On sait peu qu'il s'agit en vérité du premier tome d'un véritable cycle proche de sagas comme Le seigneur des anneaux ou Les Chroniques de Narnia, que les éditions du Cherche-midi ont eu la bonne idée de rééditer en intégralité en version française. Au-delà de la prétendue métaphore du capitalisme supposée du premier ouvrage, Le magicien d'Oz et ses suites, popularisés par le film de la MGM puis des adaptations plus récentes par Disney, proposent des voyages initiatiques et des univers étendus d'une rare qualité littéraire, presque avant-gardistes. Bon, et admettons le : les personnages de sorcières sont extras!

Contes macabres, d'E.A.Poe illustrés par B.Lacombe :

    Plutôt des nouvelles que des contes, ils méritent malgré tout leur place dans cette sélection pour avoir été ainsi catégorisés par leur auteur, Edgar Poe. Dans le prolongement de son travail sur Blanche-Neige, Benjamin Lacombe livre ici une mise en images qui évoque la filmographie de Guillermo Del Torro.

Réécritures :

    Concept davantage anglo-saxon, la réécriture propose de réinventer le conte sous un jour nouveau, original ou tout simplement différent : changer le décor et/ou le cadre de l'histoire originale, et c'est une toute autre œuvre qui nous est donnée à lire...


    Impossible de passer à côté de ce recueil de nouvelles, connu des amateurs par son adaptation cinématographique culte par Neil Jordan dans les années 80. Dans La Compagnie des Loups, Angela Carter nous offre une suite de textes réinventant les contes classiques en plaçant au premier plan le contenu psychanalytique qui n'existe qu'à l'état de suggestion dans les versions originales. Sulfureux et capiteux, avec une approche de l'image de la femme particulièrement intéressante.

White as snow, réécriture de T.Lee :
 
    Si le conte de Blanche-Neige trouve ses origines dans le mythe de Demeter et Persephone, l'auteure Tanith Lee propose de lui rendre ses lettres de noblesse en recontextualisant l'intrigue dans un univers évoquant l'Antiquité et en puisant dans la légende des éléments qui donnent tout son sel à cette relecture.
 
 
Mirror Mirror, réécriture de G.Maguire :

    Autre réécriture de la célèbre histoire de Grimm, Mirror, Mirror, encore inédit en France, est un roman fascinant du grand Gregory Maguire, dont la spécialité est justement la relecture virevoltante de certains contes classiques, dans des versions particulièrement riches. Ici, Blanche-Neige devient Bianca, et l'intrigue est recontextualisée à la cour des Borgia en pleine renaissance italienne. Un véritable coup de cœur!

Snow, réécriture de T.Lynn :

    Moins dense que l'ouvrage de G.Maguire, cette réécriture de Tracy Lynn, opus de la collection américaine "Once upon a time" (une collection qui propose exclusivement des réécritures des contes qui ont bercé notre enfance), propose une version située dans l'Angleterre victorienne teintée de steampunk.

Cendrillon, novélisation du film Disney par B.Candau :
 
    Cette novélisation du film Disney, lui-même adapté du dessin-animé Disney, celui-là même adapté du conte Perrault (ou, ça devient compliqué), est un spécimen correct du genre, d'autant qu'elle a le mérite d'être plus réussie que le film dont elle est la retranscription !

 Belle, réécriture de R.McKinley :

    Véritable best-seller outre-Atlantique, Belle, de R.McKinley est l'un des premiers exemples de réécriture de conte ayant marqué les lecteurs et le monde de la littérature. S'il n'est plus aussi marquant rétrospectivement parlant, il reste un titre majeur dans l'histoire du retelling et a le mérite d'avoir été traduit en Français!

Belle, réécriture de C.Dokey : 
 
    Beaucoup moins connu que son prédécesseur, cet autre roman au titre similaire, opus de la collection américaine "Once upon a time", est un livre plutôt intéressant avec un certain nombre d'éléments qui fonctionnent très bien, à notre plus grande surprise... On a même recensé plusieurs détails qui évoquent fortement l'adaptation de C.Gans de 2014.
  

Moi, Peter Pan, de M.Roch :
 
    Entre la réécriture et la suite, Moi, Peter Pan, est à la fois un hommage au personnage imaginé par James Barrie et une réflexion d'une poignante beauté sur les chemins de vie, le tout évoquant parfois un conte philosophique.

 
Peter et la poussière d'étoiles de D.Barry et Le journal de Peter de S.Perez et M.Maniez :

    Deux préquels autour de l'univers de Peter Pan : le premier, un roman, est le tome inaugural d'une série initiée par Disney tandis que l'autre est un album visuellement réussi, par un auteur et un artiste français.

La Belle et la Bête, novélisation du film de C.Gans par V.Rubio-Barreau :

    Inutile de s'attarder sur cette novélisation du film de Gans : elle figure juste là pour l'exhaustivité de la liste, mais ne brille franchement pas par ses qualités stylistiques. Tout y est fade et sans saveur, purement descriptif.



    Écrit par une descendante de Jean Cocteau (qui réalisa le sublime film de la Belle et la Bête de 1946), ce roman des plus agréables est une relecture originale dans laquelle l'auteure parvient à réadapter toutes les facéties du château de la Bête au monde moderne.


Du point de vue des méchants :

C'est une approche qui fait l'effet d'une véritable mode depuis quelques années : qu'elle se concentre sur tout genre de fiction en général ou sur les contes traditionnels en particulier, donner la parole à l'antagoniste est un angle de narration qui rencontre un réel succès. Si le film Maléfique de Disney donne l'impression d'avoir lancé cette mouvance, la souris aux grandes oreilles avait déjà surfé sur la vague avec la publication antérieure (du moins outre-Atlantique) de la collection "Disney Villains" écrite par Serena Valentino, éditée en France chez Hachette depuis quelques années. Bien avant la célèbre franchise, cependant, la littérature (principalement anglo-saxonne) avait exploité cette idée qui s'affranchit des limites manichéennes qu'on prête trop souvent – à défaut – à l'univers du conte. 

Wicked, de G.Maguire

  La biographie de la Méchante Sorcière de l'Ouest par l'auteur de Mirror, Mirror, au croisement de ce que l'on sait d'elle dans le Magicien d'oz de Baum, et de son interprétation dans le film de la MGM de 1939. Dépassant de loin le simple exercice de style, ce roman sert en fait une analogie particulièrement complexe et fouillée du fondement d'une dictature et sur l'écriture hasardeuse de l'Histoire. Un ouvrage improbable à la seconde lecture très pertinente, à réserver au lecteur averti. On notera qu'il s'agit là aussi d'un vrai phénomène de société aux Etats-Unis depuis son adaptation tonitruante à Broadway!
 
Les petites sorcières, de G.Maguire : 

    Moins politiquement puissant que Wicked, Les Petite Sorcières (décevant titre VF de Confessions of an Ugly Stepsister) reste du grand Gregory Maguire malgré tout : habilement revisitée, l'histoire de Cendrillon se raconte dans le milieu de la peinture flamande de la Renaissance, sous une plume incroyable.

Maléfique (Maleficent) d'E.Rudnick et Carabosse, de M.Honaker:

  Deux variations autour de la méchante de La Belle au Bois Dormant. La première, novélisation du film éponyme, s'attache bien évidemment à raconter la sorcière telle que présentée dans l’adaptation de Disney. La seconde, par un excellent auteur français, se révèle enivrante de par son ambiance et la complexité de ses personnages, dans un univers lyrique hérité des mythes arthuriens et du conte de Perrault.


 Miroir, miroir (Fairest of all)
, de S.Valentino:

  Une biographie de la méchante belle-mère de Blanche-Neige version Disney qui, en s'appuyant sur un nouvel angle, vient nous donner une image inattendue de ce personnage. Ce premier opus de la collection "Disney Villains" est une totale réussite.
 
 
Ces romans qui parlent de contes... :
 
     L'univers des contes reste pour beaucoup d'auteurs un terreau fertile : quelque soit l'intrigue, les éléments échappés de ces tréfonds originaux et inhérents au monde des histoires apportent toujours une plus-value intéressante.
 
 
Le treizième conte, de D.Stterfield : 

    Le coup de cœur indétrônable et indétrôné de notre bibliothèque et, par extension, du blog. A la fois thriller intime et psychologique, hommage à la littérature gothique anglaise et aux contes de fées, Le treizième conte représente le meilleur de ce que les Lettres britanniques ont à offrir. C'est puissant, addictif et fichtrement bien construit.

 
    Un thriller pour adolescents qui puise le noyau de son intrigue dans un conte de fée? C'est possible! Michel Honaker, auteur de Carabosse, utilise encore la conte de la Belle au Bois dormant mais cette fois comme thème central dans une enquête menée par une journaliste intrépide.

La malédiction Grimm, de P.Shulman :

    Un autre chouchou du blog : imaginez un lieu entre le musée et la bibliothèque, où seraient entreposés (et empruntables) les objets clefs de la littérature et des contes de fées. Le miroir de la reine, le tapis d'Aladin, la pantoufle de Cendrillon... tous sont disponibles au dépôt d'objets empruntables de la ville de New-York! Un roman aussi plaisant qu'amusant dans son originalité.

Dans l'univers des contes :

    Certainement dans la continuité d'Oz ou de Narnia, l'idée d'un monde parallèle où les contes seraient réels semble avoir titillé bien des auteurs.

Les sœurs Grimm, saga de M.Buckley :

    Série jouissive et parfaite pour Halloween (mais malheureusement interrompue en France), Les sœurs Grimm s'amuse de l'héritage des célèbres conteurs en confrontant leur univers, complètement détourné, à leur descendantes.

Le pays des contes et Une histoire de magie, les sagas de C.Colfer :
 
    Dans la lignée de la mini-série Le dixième royaume, l'acteur, chanteur et auteur Chris Colfer imagine les aventures de jumeaux tombant littéralement dans un livre ouvrant sur un pays fantastique où les personnages de contes existent réellement... mais où il n'ont pas toujours vécu heureux. Cette série très sympathique mais inégale a récemment donné naissance à une saga préquelle.

Le mystère du livre disparu, saga de P.D.Baccalario :

    Proche de la série de Chris Colfer, cette saga de l'auteur prolifique Pedro Domenico Baccalario n'a pas survécu au-delà de ses deux premiers tomes en France. C'est fort dommage car le concept était pourtant prometteur...

Les contes à l'écran :
 
    Avec le succès sur le retour des contes de fées, ces derniers ne pouvaient échapper à leur appropriation par le cinéma. Là encore, si ce sont les récentes versions pour le grand écran qui font le plus parler d'elles, n'oublions pas la télévision, qui n'avait pas attendu ce regain d'intérêt pour transposer, et parfois de fort belle manière, certains textes bien connus de nos bibliothèques.
 
 
La Belle et la Bête, inoubliable adaptation de Jean Cocteau :

    Un beau dessin vaut mieux qu'un long discours : allez voir le film (ou lisez notre critique ;) ), c'est de toute beauté. Un chef-d’œuvre, comme une gravure de Gustave Doré qui prend vie.
 
 
Cendrillon, le film Disney de K.Brannagh : 
 
    Pas déplaisante mais beaucoup trop lisse, cette version de Cendrillon s'engonce dans un visuel trop présent qui empêche l'histoire de décoller. Brannagh aurait dû s'en tenir aux adaptations de Shakespeare.
 
La Belle et la Bête, version française de C.Gans et version Disney de B.Condon.
 
    Deux versions cinématographiques toutes les deux intéressantes à leur façon, la première ayant le mérite d'être une production française de grande envergure comme on en voit rarement dans la cinématographie hexagonale. Cette adaptation par Gans présente certains points communs avec le texte de Mme de Villeneuve et l'atmosphère évoque celle du film de Cocteau. Tout n'y est pas parfait mais elle a le mérite de proposer une vision alternative à Disney et une mythologie qui lui est propre. Côté Disney, l'adaptation en live action du dessin-animé de 1992 d'après le conte de Mme Leprince de Beaumont (vous suivez?) est également des plus agréables à et tout à fait enchanteresse avec son esthétique très inspirée du XVIIIème.
 
 
Blanche-Neige et le chasseur, de R.Sanders, et Blanche-Neige, de T.Singh :

    Deux version concurrentes sorties au cinéma la même année à quelques mois d'écart, dans des registres très différents. Le film de Rupert Sanders propose une vision sombre et froide qui évoque à la fois Games of Thrones et le roman White as Snow, dans laquelle Blanche-Neige devient une combattante inspirée de la figure de Jeanne d'Arc. Le film de Tarsem Singh, plus pop et coloré, n'est pas sans évoquer l'univers Disney mais a le mérite de ne pas se prendre au sérieux à cent pour cent, ce qui en fait une agréable distraction.
 
 
Maléfique, le film Disney de R.Stromberg :
 
    Second film Disney après Alice au pays des merveilles à remettre les contes sur le devant de la scène, Maléfique est évidemment une réussite en tout point, alternant entre la transposition live action du dessin-animé de Disney et une relecture du point de vue de l'antagoniste hyper charismatique de l'histoire. Esthétiquement proche de Blanche-Neige et le chasseur mais avec un ton bien à lui, Maléfique surfe sur plusieurs vagues en vogue tout en gardant un ton unique.
 
 
Into the woods, le film Disney d'après le célèbre musical :
 
    Adaptée du musical éponyme, ce film chanté et dansé au casting trois étoiles est un petit bijou de détournement et de fantaisie, même si le format cinématographique se prête moins que la scène à l'intrigue.
 
Sur scène :
 
     Nous parlions à l'instant de musical et de versions scéniques : il se trouve qu'on a pu assister à quelques transposition théâtralisées de contes célèbres également. Si on a loupé il y a deux ans Into the woods en tournée en région parisienne, nous avons eu l'occasion d'en voir d'autres....
 
 
Peau d'âne, adaptation scénique du film de J.Demy à Marigny :
 
    Même si la mise en scène manquait un peu d'audace au regard de certaines comédies musicales, admettons que les décors, les costumes et la musique valaient largement le détour. Les chansons de Michel Legrand en version instrumentale sur une grande scène parisienne, c'était quand même quelque chose!

 

Peter Pan, musical d'après J.Barrie au théâtre Bobino : 

    Une adaptation à destination d'un jeune public. Si ce musical est sans prétention, il n'en reste pas moins sympathique et ce sans oublier les références au texte d'origine via de nombreux éléments éludés par le dessin-animé de Disney.

***

    Voilà donc pour cette excursion dans nos archives! Certains articles proposés nécessitent néanmoins une mise à jour que nous allons tâcher de faire le plus rapidement possible. Cette liste vous donnera la matière nécessaire à agrandir votre wish list en attendant nos futurs articles halloweenesques...

8 commentaires:

  1. Impressionnante cette liste didonc...ouaaaaaahhh mais il manque le Peter Pan de Loisel qui m'a totalement traumatisee....mais ouah halloween est bien prometteur avec cette liste

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    1. Cette liste ne reprend que les livres que j'ai déjà chroniqués sur le blog. Or, je n'ai pas encore fait d'article sur la bd de Loisel ;-)

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    2. Oh okidou...c'est un detail qui fait la difference...de sacres lectures alors...;)

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  2. voilà de quoi faire le plein d'idées. Lr cyclo d'Oz est dn ma PAL depuis un moment, il faudrait que je m'y mette

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    1. C'est parmi mes lectures préférées!J'adore tout ce qui a été écrit autour du Magicien d'Oz!

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  3. Quel bonheur de pouvoir s'aventurer dans les archives du Terrier! J'y piocherais des idées, c'est sûr!

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  4. Bonjour, merci beaucoup pour cette sélection et pour vos articles fouillés. Je me permettrait de vous conseiller le livre Au bois dormant de Féret-Fleury qui reprend les codes du conte de LA Belle au bois dormant dans une histoire de tueur en série.

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